57.Le débit d’eau rejeté en provenance du terrain dans un réseau d’égout pluvial doit être limité à 50 litres par seconde par hectare si le réseau peut accueillir un tel débit, mais il ne doit jamais dépasser la capacité hydraulique et environnementale résiduelle du milieu récepteur. Néanmoins, ce débit pourra être supérieur à 50 litres par seconde par hectare si l’eau est relâchée dans un réseau d’égout pluvial dont l’émissaire se rejette directement au fleuve Saint-Laurent, à la rivière Montmorency en aval de la prise d’eau potable principale de l'usine de traitement d’eau potable de l’arrondissement de Beauport, ou à la rivière Saint-Charles en aval du pont du boulevard Wilfrid-Hamel et s’il est démontré, par des calculs signés par un ingénieur, que le débit respecte la capacité hydraulique et environnementale résiduelle du milieu récepteur.
Le débit d’eau rejeté en provenance du terrain dans un réseau d’égout unitaire ou dans un réseau pluvial tributaire d’un réseau unitaire doit être limité au débit actuel. Il pourra néanmoins atteindre 30 litres par seconde par hectare s’il est démontré, par des calculs signés par un ingénieur, que le débit respecte la capacité hydraulique et environnementale résiduelle du milieu récepteur.
57.Le débit d’eau rejeté en provenance du terrain dans un réseau d’égout pluvial doit être limité à 50 litres par seconde par hectare si le réseau peut accueillir un tel débit, mais il ne doit jamais dépasser la capacité hydraulique et environnementale résiduelle du milieu récepteur. Néanmoins, ce débit pourra être supérieur à 50 litres par seconde par hectare si l’eau est relâchée dans un réseau d’égout pluvial dont l’émissaire se rejette directement au fleuve Saint-Laurent, à la rivière Montmorency en aval de la prise d’eau potable principale de l'usine de traitement d’eau potable de l’arrondissement de Beauport, ou à la rivière Saint-Charles en aval du pont du boulevard Wilfrid-Hamel et s’il est démontré, par des calculs signés par un ingénieur, que le débit respecte la capacité hydraulique et environnementale résiduelle du milieu récepteur.
Le débit d’eau rejeté en provenance du terrain dans un réseau d’égout unitaire ou dans un réseau pluvial tributaire d’un réseau unitaire doit être limité au débit actuel. Il pourra néanmoins atteindre 30 litres par seconde par hectare s’il est démontré, par des calculs signés par un ingénieur, que le débit respecte la capacité hydraulique et environnementale résiduelle du milieu récepteur.